PLANNING DES STAGES À PARIS
Les stages sont tous niveaux.
De 13h à 17h, à la salle de danse de la piscine Georges Vallerey au 148, avenue Gambetta, Paris 20e.
Rendez-vous devant la piscine un quart d'heure avant le cours car il faut entrer groupé. Les retardataires devront faire la queue au guichet pour avoir accès au portillon, ce qui risque de prendre du temps. La salle de danse se trouve au 3e étage de la piscine. Longer le bassin par la gauche, la salle "parquet" est en face.
Métro 3B et 11 : Arrêt Porte des Lilas
Bus 60, 61, 96 et 105 : Arrêt Porte des Lilas
Tram T3 : Arrêt Porte des Lilas
⋆ Samedi 22 juin (thème : relation danse-chant)
⋆ Samedi 30 août
⋆ Dimanche 31 août
Tarif : 60 € la journée
Merci de prévenir à l’avance de votre présence
DÉROULEMENT D’UN STAGE À PARIS
Le stage dure quatre heures avec une pause de vingt minutes. Il permet de développer un des trois styles (shaabi, baladi ou sharqi) et d’entrer en profondeur dans l’interprétation de la musique. Le niveau est général et reprend la technique de base. Les personnes non initiées s’intègrent en découvrant progressivement un univers nouveau tandis que les élèves plus habituées recherchent davantage un ressenti et une qualité du mouvement. Après une heure de préparation au sol, le corps est disponible pour aborder la marche et tous les mouvements qui en découlent. Viennent ensuite, des enchaînements répétés ou une recherche chorégraphique par petits groupes.
LE TEMPS FORT DU STAGE : LES MUSICIENS
Deux musiciens nous accompagnent pendant plus d’une heure, différents à chaque fois selon les styles. La plupart de ces musiciens ont joué dans les spectacles d’Anne : Adel Shams El Din (req et tabla) mais aussi Abdel Hakim Nasr (tabla), Sameh Sidhom ou Nidal Gad (accordéon), Hend Zouari ou Khadija El Afrit (chant et qanoun), Al Bachir Zaid (mizmar et nay). Ils interprètent de magnifiques morceaux du répertoire oriental et peuvent répéter à loisir telle ou telle séquence musicale pour mieux la comprendre. Le percussionniste facilite la compréhension du rythme égyptien, tandis que l’autre instrument joue la mélodie et improvise (takassim). Les élèves aussi s’essayent à l’improvisation, et peuvent, une fois intégrée la structure du morceau, guider les musiciens. La complicité qui les unit souligne le caractère indissociable de la musique et de la danse.